| Déontologie |

Deontologie du coaching et de la formation

L’exercice du métier de coach implique un certain nombre de principes et de valeurs.

Confidentialité
Ce qui est dit lors d’une séance de coaching ne sort pas de ce cadre. Sans cette confidentialité, il ne peut y avoir de relation de confiance, et sans cette confiance, le coaching ne peut pas fonctionner.

Bienveillance
Sans doute la plus simple et la plus essentielle des qualités en accompagnement, qui consiste à « porter sur autrui un regard aimant, compréhensif, sans jugement, en souhaitant qu’il se sente bien, et en y veillant » (j’emprunte cette définition à Catherine Gueguen).

Respect de la personne
Il s’agit d’accepter la personne dans son ensemble, avec la vision du monde, les processus de pensées et les comportements qui lui sont propres. C’est aussi accepter son rythme d’évolution, sa volonté d’avancer ou pas, ainsi que les limites qu’elle souhaite ne pas franchir.

Neutralité
En tant que coach, mon rôle n’est pas de défendre les intérêts de qui que ce soit. Ni ceux de la structure qui prend en charge le coaching, ni ceux de la personne qui en bénéficie. Ma mission consiste simplement à accompagner la personne pour avancer dans la bonne direction

Autonomie
Le coaching vise à rendre la personne autonome dans ses choix et dans ses actes. Un coach qui instaure une relation de dépendance avec son coaché n’est pas un coach mais un gourou.

Limites
Le coaching peut parfois ne pas répondre à toutes les problématiques. Dans un tel cas, je veille à orienter la personne vers un autre type d’accompagnement plus adapté. Mais en tant que coach, je reconnais aussi mes propres limites et accepte que parfois, le coaching peut aussi échouer

Supervision
Comme tout professionnel du coaching, je suis moi-même accompagné par d’autres coachs dans le cadre d’une supervision.