IA : une nouvelle révolution industrielle est en marche
L’intelligence artificielle n’est plus un fantasme de science-fiction, c’est à présent une réalité à laquelle nous sommes confrontés au quotidien. Et ChatGPT ou Dall-E ne sont que la partie émergée d’un énorme iceberg à venir, un iceberg qui a déjà commencé à révolutionner le monde du travail. Raisonnement, logique, analyse, toutes les tâches intellectuelles qui nous distinguaient jusqu’à présent d’une machine peuvent, ou pourront un jour, être assurées par l’IA. Tout cela est lourd de conséquences …
Jusqu’à 300 millions d’emplois menacés
Pour résumer les nombreuses études sur le sujet, soit l’IA va massivement supprimer des emplois, soit elle impactera profondément la majorité des emplois existants. En mars 2023, une note d’analyse publiée par la banque d’investissement Goldman Sachs1 prédit que, « en raison de la dernière vague d’intelligences artificielles, jusqu’à 300 millions d’emplois à temps plein » seront automatisés à travers le monde. Mais même sans aller jusque là, aux États-Unis et en Europe, pas moins des 2/3 des emplois actuels seraient « exposés à un certain degré d’automatisation ».
Nos compétences se périment de plus en plus vite
Selon l’OCDE, la durée de vie moyenne de nos compétences techniques était de 30 ans en 1987 … elle est de 2 ans aujourd’hui. Face à cette obsolescence toujours plus rapide de nos savoirs et savoir-faire, il devient essentiel de développer des soft skills spécifiques, des compétences d’un nouveau genre qui feront la différence entre un algorithme et l’être humain que nous sommes. Créativité, présence, empathie, bienveillance, intelligence émotionnelle, capacité à donner du sens … les métiers de demain nécessiteront plus que jamais de savoir gérer la relation à l’autre et la relation à soi.
Un enjeu considérable pour tous les acteurs
C’est l’ensemble du monde du travail qui est impacté par cette révolution silencieuse. Les salariés bien sûr en termes d’employabilité, mais aussi les entreprises au niveau de leur GRH, les organismes de formation qui doivent rester en phase avec l’évolution des compétences, ou encore les pouvoirs publics en termes de lutte contre le chômage.
Quels publics ?
Sachant que cette tendance est globale, le profil des personnes concernés peut être très différent : salariés de tout niveau, qu’ils soient en poste, en intégration, en reclassement ou en reconversion …
Qu’est-ce que je propose ?
J’interviens dans le cadre d’ateliers de durée variable, de préférence auprès de groupes peu nombreux afin de favoriser les échanges, les retours d’expériences, la confrontation de points de vue, et l’intelligence collective.
Qui sont mes clients ?
Il peut s’agir de structures de toute taille et de toute nature (entreprises, collectivités, associations, …).